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Divagations Nocturnes
9 décembre 2009

Des nouvelles dont tout le monde se fout. Sauf moi.

J'ai battu un nouveau record: 3 nuits en dormant en tout 3 heures au total. Autant dire que c'est plutôt rude au boulot.
J'ai pas assez de nouvelles de toi, personne que je ne mentionnerai pas et qui se reconnaitra.

Playliste actuelle: Gris - "Veux-tu Danser?"  
                          Diapsiquir

Seul un rayon de soleil dans mon horizon bien sombre peut calmer mes pensées/pulsions/envies (rayez la mention inutile) destructrices et autodestructrices. Mais la lumière n'est malheureusement qu'une pensée, qui lutte pour survivre face à l'obscurité.

"Je frappe à toutes les fenêtres dans une société où l'on rentre par la porte. Fermée." (L.O.). Comprenne qui pourra.

Peu de gens je pense...

J'ai toujours aimé les choses "à l'ancienne", "old school", à vous de voir. Toujours une lettre a plus de valeur qu'un mail. Toujours une bonne table analogique plutôt à une merde numérique. Toujours tourné vers un passé révolu aux trois-quarts, courant après ce qui a été.

Une simple lecture peut prendre le coeur et le déchirer, le mettre en pièces, vous nouer la gorge. Je garde cela à l'esprit: Les mots sont une arme. Et une défense. Et un moyen de manipulation. Mais ce sont les seules choses qui me font tenir le coup en ce moment, quelques feuillets froissés à force de manipulation.

"Tu ne peux me toucher, car je porte la pire des infections.
Je la répand contre ceux que j'aime au grès des impulsions
(...)
Pourquoi fallait-il que je sois doté de cette terrible malédiction?
Cet affreux syndrome qu'est celui d'aimer d'une force sans nom..."

                                                                Gris. Merci mille fois Vaerohn.

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Commentaires
L
Je viens de recevoir ta dernière lettre. J'ai eu mal en la lisant, je m'en veux d'être impuissante et je me fais du soucis pour toi. Mais je ne t'apprends rien. J'ai perdu le grimoire qui explique comment redonner la lumière à celui qui l'a perdue. Je ne sais plus dans quel sens il faut te dire tout ça, disons que mon intention est debout dans un corps qui marche sur la tête. Vois-tu. Je crois que la plus importante des choses que je pourrais te dire, dans la mesure où elle est d'une profondeur sans équivoque, c'est que je pense à toi. Avec tout l'infini dont je suis capable. Simon, te voir te détruire m'écorche la raison.
Divagations Nocturnes
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